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De plus, la nouvelle propulsion hybride est beaucoup plus agile. La puissante accélération des deux groupes motopropulseurs (trois sur le modèle à traction intégrale) est vraiment amusante. Seul le nom rappelle le moteur souvent décrié commet hurlant avec effet élastique. Le système réagit spontanément à la pédale d'accélérateur et tire rapidement le SUV jusqu'à la vitesse voulue.
Une fois cette vitesse atteinte, le thermique s'arrête souvent complètement et le laisse au moteur électrique pour maintenir la vitesse. Comme d'habitude, cela fonctionne mieux si vous soulevez un peu le pied - et théoriquement seulement jusqu'à 115 km/h. Quoi qu'il en soit, si vous glissez simplement le long de la route, vous entendez si peu parler du moteur que le bruit du roulement semble plus fort que d'habitude, selon la surface de la route.
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Les Japonais ont conçu le châssis confortablement. Il compense en douceur les imperfections de la route et berce légèrement les occupants, tant qu'aucun dos d'ane ne réveille brusquement les passagers et les esprits. Alors, la Lexus UX est-elle une voiture douce ? Non, mais sa dynamique vient plus de la construction que de la suspension.
Malgré la structure du SUV, la voiture a un centre de gravité relativement bas (594 mm) grâce à la plate-forme. De plus, les ingénieurs Lexus ont ajouté des raidisseurs supplémentaires à la plate-forme Toyota et ont éliminé l'amortissement en caoutchouc entre la direction et le châssis. La direction est directement et précisément réglée, le châssis peut être rigidifié dans les versions supérieures grâce à un contrôle de la dynamique de conduite.
Cela rend l'UX beaucoup plus agréable à conduire, malgré son confort intrinsèque. Remarquable quand il s'agit de tempo : Peu importe (presque) à quel point vous donnez un coup de pied au Lexus UX, il ne consomme plus de six litres aux 100 kilomètres que sur les longues et rapides étapes autoroutières. En ville, ça fera plutôt cinq litres.
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Sauf quand ils ont des turbo imaginaires. Là, c'est plus pareil du tout.les HSD "moulinent" et consomment énormément sur autoroute!
Il est fin temps de pénétrer dans l’habitacle du Lexus UX 250h. Autant ne pas tourner autour du pot, et commencer par les choses désagréables : si vous cherchez un compagnon de voyage au long cours pour transporter toute la petite famille et le labrador dans le coffre, et aussi importantes que puissent être toutes les qualités de la voiture, vous pouvez oublier. Et pour cause, voici LE défaut de l’UX 250h : le coffre. D’une contenance de 265 litres (amputé de 30 litres supplémentaires en optant pour une version 4 roues motrices), il est très en-deçà de ce que peut offrir la concurrence – 460 litres sur un Volvo XC40, 470 litres sur un BMW X2, 530 litres sur un Audi Q3. Et ce n’est pas le petit rangement sous le plancher – si tant est que vous n’optiez pas pour l’option roue de secours – qui permet de redresser la barre pour cette malle qui rougirait face à la capacité d’emport d’une simple Renault Clio V. Lexus aurait-elle privilégié l’habitabilité des passagers arrière au détriment du volume de coffre ? Même pas ! Là encore, des adultes souffriront rapidement lors des longs trajets. Notre photo est assez parlante à cet égard : avec un siège passager avant réglé pour un individu mesurant 1,77 m, l’espace aux jambes résultant à l’arrière pour cette même personne est réduit à peau de chagrin. Vous voilà prévenus, et c’est donc en connaissance de cause que vous pourrez faire l’acquisition d’un UX 250h ; il conviendra à des couples éventuellement accompagnés de jeunes enfants, mais il ne faudra pas lui en demander plus.